Longs-métrages
- L'oeuf dure
- Les fantômes
- Un couteau dans le cœur
- Boulevard Voltaire
- Le bled
- Victoria
- Ainsi soit-il
- Lettre à mon frère, Guy Gilles
- Néfertiti
- Péché véniel... péché mortel...
- Aphrodite
- Un second souffle
- Le jardin qui bascule
- Le cimetière des poupées
- Ariane
- Absences répétées
- Le clair de terre
- Au pan coupé
- L'amour à la mer
Moyens-métrages
- Seizième
- Quelle heure est-il ?
- Siamrosed
- Guy Gilles et le temps désaccordé
- Guy Gilles photographe
- Croisière 71
- La jonquille
- Jean-Louis Barrault, un homme de théâtre
- Côté cour, côté champs
- Chanson de gestes
Courts-métrages
- Instants
- Les larmes du bonheur
- Les prisonniers du temps
- Des espoirs (et autres courts-métrages)
- Le robot et la marguerite
- Le train de ma vie
- Les enfants de Beaubourg
- La journée d'un chômeur
- À vos marques
- Chevaux de neige
- Le renard et le corbeau
- En attendant l'auto
- La tortue et le renard
- Du cuir en juin
- Un dimanche à Aurillac
- Le jardin des Tuileries
- Paris un jour d'hiver
Le jardin qui bascule (1975)
Deux jeunes tueurs à gages parviennent à se faire inviter dans la villa de celle qu'ils sont chargés d'éliminer. L'un d'eux deviendra l'ami de celle-ci.
Générique
1975 - 80 mn - couleur
Fiction
Scénario, dialogues et réalisation
Guy Gilles
Interprétation
Delphine Seyrig (Kate), Patrick Jouané (Karl), Sami Frey (Michel), Philippe Chemin (Roland), Guy Bedos (Monsieur Garcia), Anouk Ferjac (Madame Garcia), Howard Vernon (Paul), Jean-Marie Proslier, Caroline Cartier, Ludovic Lutard, Pierre Fabre, avec la participation de Jeanne Moreau (Maria)
Production
Scorpio V, OFF Production
Image
Jean-François Robin
Montage
Hélène Viard
Musique
Jean-Pierre Stora et Marc Hilman.
Chanson "Pour toi"
Texte de Jeanne Moreau
Musique de Guy Boyer
Interprétation chanson
Jeanne Moreau
Extraits
Rêves et souvenirs de Paris
Orchestral
Notes
CRITIQUE
"...La présence, au coeur de ce film en nuances, impressionniste, extrêmement pudique dans sa tendresse comme dans son tragique, de grands comédiens et de jeunes acteurs exigeait une mise en scène sans effets ; la mise en scène de Gilles est celle des heures et des visages. Delphine Seyrig est remarquable, que l'amour ne délivre pas de ses draps, comme sur une affiche de Mucha, ni d'une solitude dont la jeunesse ne connaît que la part insupportable (d'où les beaux plans de Philippe Chemin, ou du jeune Ludovic Lutard). La logique du désespoir veut deux meurtres pour un. Et la tendresse de Guy Gilles pour ses héros nous vaut un film doux-amer comme une éducation sentimentale." Claude Michel Cluny, Cinéma 75 (numéro 199)